8 novembre 2009
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Lundi à 18h 30 - Université Stendhal
"Le mur Israël-Palestine"
Dans le cadre de la semaine d ela solidarité internationale
Avec
Dominique Vidal et les "amis du Monde Diplomatique"
Dominqiue Vidal a fait des études de philosophie et d'histoire avant de devenir journaliste en 1973
dans diverse publications, notamment de 1988 à 1991 au quotidien La croix. De 1991 à 1995, il est coordinateur des activités internationales du Centre de formation et de perfectionnement
des journalistes (CFPJ).
En 1996, il entre au Monde diplomatique dont il est rédacteur en chef adjoint de1998 à 2006.
Il est actuellement membre de sa
rédaction.
7 novembre 2009
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Dans la grande mosquée de
Damas
A Notre Dame de Seydnaya
Au mémorial arménien de Deir-Ez-Zor
6 novembre 2009
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Le projet de rénovation urbaine sur lequel l'ancienne muncipalité s'était plusieurs cassé les dents est enfin arrivé à terme.Le 9 octobre, l'Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine a fait
savoir qu'elle donnait un avis favorable au projet présneté par la ville de Valence.
Ce projet prévoit la destruction de 389 logements dans les zones dites "sensibles" et la reconstruction de ces 389 mogements hors du périmètre de la zone urbaine sensible. A cela s'ajoute:
la réhabilitation et l'amélioration de 774 logements sociaux, la construction de 100 logements en accession à la propriété, un programme de rénovation et de création d'espaces publics sur
les quartiers du Plan et de Fontbarlette ainsi que la création d'équipements et de locaux associatifs.
Le montant de l'opération, programmée sur cinq ans.s'élève à 113 448 077 €
L'ANRU finance le projet pour 20 881 704 €. La charge de la ville sera de 37 558 138 € , soit '33% du coût total .
La région, le département et d'autres financeurs apportent le reste des fonds nécessaires.
Le conseil municipal a validé ce projet dans sa réunion du 5 novembre.
5 novembre 2009
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En acceptant la délégation d'adjoint chargé du personnel, je savais que j'acceptais une tâche qui ne serait pas un long fleuve tranquille.
La réalité n'est pas décevante !
Ce que, pourtant, ne je n'avais pas estimé à sa juste mesure, c'est la difficulté d'affronter, au quotidien, le contact direct avec les effets de la crise sur nos concitoyens les plus
démunis.
Alors que je n'ai pris cette charge que depuis une poignée de semaines, j'ai déjà reçu un nombre conséquent de personnes, hommes et femmes, demandeurs d'emplois qui sont dans des galères
telles que j'ai déjà vus plus d'adultes en larmes dans mon bureau que je n'en avais croisés jusqu'à présent. La ville étant un des principaux employeurs de la place, nombreux sont en
effet ceux qui se tournent vers elle comme vers un pourvoyeur de services qui devrait pouvoir les tirer de leur situation. Ecouter les doléances, compatir à la difficulté sans pouvoir offrir une
quelconque perspective à ceux-là même qui accepteraient "n'importe quoi" pourvu qu'on leur offre un travail, constitue une réelle épreuve quasi quotidienne.
A ces demandeurs s'ajoute la rencontre de ces employés municipaux, la plupart du temps des femmes, qui ne travaillent qu'à temps partiel à des tâches souvent ingrates et qui, montrant
des feuilles de paye rachitiques, demandent s'il n'est pas possible de les faire travailler quelques heures de plus.
La prochaine fois que je rencontre quelqu'un qui me dit "les chômeurs sont des fainéants, quand on veut travailler on trouve" je crois bien que je me fâcherai vraiment.
bouchet
4 novembre 2009
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Le salaire mensuel brut moyen à la ville de
Valence, pour le personnel permanent à temps complet, est de 2 245 euros. Le salaire brut inclu le traitement de base, les indemnités, le treizième mois et le supplément familial. Après
rélévent des cotisations salariales il s'établit à 1850 euros. En dix ans, ce salaire net à augmenté de 246 euros.
L'écart par catégorie est significatif.
1562 euros salaire net moyen catégorie C, 3006 euros pour les agents de catégorie A
Les cotisations salariales sont de 16,85% pour les titulaires.
Les cotisations patronales de 48,04 %
Chiffres pour l'année 2008.
3 novembre 2009
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L'élaboration d'un projet de budget est toujours un exercice extrèmement difficile.
Autant il est relativement facile de déterminer les dépenses que l'on voudrait engager, et d'arbitrer celles qu'il est raisonnable de prévoir, autant il est complexe de dessiner le chapitre des
recettes.
Traditionnellement, les bases sur lesquelles sont calculées les impôts locaux (lesquelles sont fixées par les députés sur proposition du gouvernement dans le cadre de la loi de finance annuelle)
ne sont pas connues avant la fin décembre. Leurs conséquences concrètes pour le budget annuel ne sont pas maîtrisées avant le courant du mois de février.
A cette situation, habituelle, mais qui rend difficile la rigueur des prévisions, s'ajoute, pour la préparation du budget 2010, des difficultés particulières.
La crise économique va avoir pour effet de réduire très sensiblement le produit des droits de mutations sur les transactions immobiliaires qui constituent une partie des recettes de la ville. La
dotation globale de fonctionnement provenant de l'Etat n'est annoncée qu'avec une augmentation maximale de 0,6 %, soit bien en deça de l'inflation officielle. Enfin, les incertitudes sur le
devenir de la taxe professionnelle, dont la réforme est contestée au sein même de la majorité, laissent une grande incertitude sur le montant de ce que sera le résultat de ce chapitre de recette
fiscale pour la commune. On annonce que ce que la ville devrait reçevoir, en 2010, au titre de l'impôt qui remplacera la TP, sera égal à ce qu'elle a reçu en 2009 ... mais les promesses
n'engagent que ceux qui les écoutent !
Pour Valence une difficulté supplémentaire vient de ce que la compensation du manque de recette consécutif à la fermeture de l'entreprise Reynolds devrait cesser cette annnée !
Tout ça accumulé, le travail de prévision devient singulièrement complexe !
2 novembre 2009
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L'existence d'une minorité qui soit capable d'interpeller la majorité sur ces projets et de lui demander compte de ses décisions est nécessaire à la vie
démocratique d'une collectivité.
Encore faut-il que cette minorité s'efforce de poser des questions pertinentes et de porter des critiques sensées.
Or, loin de cela, il est à craindre qu'avec sa dernière tribune dans la revue muncipale (page 31), l'opposition n'ait touché le fond du propos sans objet.
Se demander "quand la municipalité se décidera enfin à annoncer ses projet structurants pour Valence" alors précisement que le cahier central de ce numéro présente, plans à l'appui, le
projet urbain pour bâtir la ville de demain lequel est affiché depuis plusieurs semaines dans les locaux de l'hôtel de ville, montre bien qu'on se tient mal au courant de ce qui se
passe à la mairie. (Ou bien qu'on n'est pas venu à l'hôtel de ville depuis plusieurs semaines !)
Affirmer que le nouveau logo représente un nouvel excès dispendieux, c'est être de mauvaise foi. Il n'y aura pas de changement brutal de logo. Cela se fera naturellement, au
fil des renouvellements normaux de matériel : véhicules, vêtements de travail, papeterie etc... et donc que cela ne coûtera rien d'autre que la rémunération du concepteur,
Prétendre enfin qu'il y aura création d'une "salle de repos et buvette indispensable au bon confort des nouveaux édiles" relève de la bêtise la plus crasse bien plus encore que de la
provocation la plus stupide.
Quand y aura-t-il une opposition digne de ce nom à Valence ?
31 octobre 2009
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11:25
Lors d'une séance au Sénat, JP Chevènement s'est adressé ainsi à E . Besson à
propos du débat que celui veut relancer suir la question de l'identité nationale.
...depuis 1789, l'identité de la France se définit comme une identité républicaine, fondée sur une communauté de citoyens partageant des valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité.
Il n'y a pas lieu de revenir constamment sur cette définition, surtout à propos des problèmes posés par l'immigration, sauf à vouloir rouvrir le débat, tranché depuis 1889 par Ernest Renan, sur
les deux conceptions de la nation : la conception citoyenne et la conception ethnique.
Il faut essayer de soustraire cette question de l'immigration aux surenchères du débat gauche-droite. C'est ce que j'ai fait, alors que votre politique consiste à faire de la surenchère par
rapport au Front national. Elle ne peut qu'aiguiser les faux débats qui peuvent exister entre la droite et la gauche, en favorisant tous les extrêmes : d'un côté, la xénophobie, de l'autre, le «
sans-papierisme » aveugle.
30 octobre 2009
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Parmi les réformes sarkoziennes qui s’attaquent à la démocratie,
les médias ont peu souligné celle qui se profile pour 2014, à savoir le scrutin uninominal à un seul tour pour l’élection des élus territoriaux
Si cette réforme aboutissait, ce serait un des fondements du système électoral français qui serait jeté à bas. Au premier tour on choisit, au second on élimine !
Au premier tour s’exprime toute la diversité des opinions. Au second tour, on procède aux rapprochements qui permettent à des majorités de se constituer et l’électeur choisit.
En établissant un scrutin majoritaire à un seul tour :
1° On cherche à gommer l’expression les diversités politiques.
2° On prend le risque de porter au pouvoir des élus minoritaires dans l’opinion. Sera élu le candidat arrivé en tête, même s’il est très loin de représenter un majorité d’électeurs.
3° On cherche à forcer l’électorat à s’inscrire dans le bipartisme.
Ce système ne correspond pas à la tradition française.
Si, un jour, la diversité ne pouvait plus s’exprimer dans les urnes, il y aurait tout lieu de craindre qu’elle ne s’exprime par des voies moins républicaines
29 octobre 2009
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Le cumul des mandats est à peu près condamné par tout le monde, à droite comme à gauche.
Moyennant quoi la réforme des collectivités territoriales va probablement instituer un cumul des mandats entre la fonction de conseiller régional et celle de conseiller général en créant des
conseiller territoriaux.
Le pouvoir de décision régional et départemental légalement concentré : voilà bien une méthode originale pour contourner la question du cimul des mandats !