30 octobre 2012
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Devant les difficultés à financer des grands projets d'infrastructures, la tentation est grande de recourir au dispositif "Partenariat
Public-Privé" créé en 2004 sous l'impulsion du très libéral Alain Madelin.
Le
20 juillet, le premier partenariat public-privé (PPP) prévu dans le plan Campus pour réhabiliter les universités
était signé. Eiffage
était choisi pour construire et entretenir pendant vingt-sept ans un bâtiment universitaire de quatre étages à Grenoble. Un contrat à 70 millions d'euros. Quelques jours plus tard, Spie
Batignolles était désigné attributaire pressenti pour bâtir quatre prisons (Valence, Beauvais…) et en assurer la maintenance durant près de trente ans.
Une
surprise, car le gouvernement Ayrault a fait part à plusieurs reprises de sa méfiance pour ce montage juridique où l'État
ne règle pas sa note à la livraison de l'ouvrage, mais paye des loyers durant la durée du contrat. C'est la volonté de ne pas retarder les projets engagés par le gouvernement précédent qui
explique le recours à cette méthode. «À Grenoble, nous l'avons fait car je ne voulais pas retarder ce projet qui était mûr et gommer le travail des équipes depuis quatre ans»,
explique au Figaro la ministre de l'Enseignement supérieur.
Début juin,
la ministre de l'Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, chargée de la réhabilitation des universités, était très claire sur le
sujet: «Les PPP coûtent cher et ne profitent qu'aux grands majors du BTP.
Nous devons envisager d'autres montages juridiques et financiers moins complexes.» Elle a même
lancé un audit pour savoir si le PPP est la bonne formule pour mener à bien le plan Campus. Ce rapport devrait être rendu fin octobre. De son côté, la garde des Sceaux, Christiane Taubira,
est aussi montée au créneau fin juin, estimant que ce mode de financement n'était pas «acceptable» et stigmatisant cette façon «d'engager l'État sur au
moins deux générations pour échapper à des crédits aujourd'hui».
Prudence donc dans le recours à ce mode de financement.
3 juillet 2012
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Savez-vous ce que représente le service "Entretien Ménager" de la ville de Valence ?
Tenir propres 48 écoles et 50 bâtiments c'est 54 équivalent temps plein (en réalité 138 agents à temps complet ou
partiel). soit 2 930 000 eruos de masse salariale à quoi s'ajioutent 254 000 euros d'heures complémentaires (remplavcements, renforts, congès)
C'est en outre 98 000 euros de fournitures et 92 000 euros de prestations sous-traitées à ds entreprises privées.
C'est enfin un gros travail de logistique et d'organisation assuré par un responsable de service et 3 agents de
maîtrise.
Près de 3 500 000 d'euros pour la propreté : un poste non négligeable du budget de fonctionnement de la ville !.
31 mai 2012
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La lecture du compte administratif annuel (Voir note 12.108 et 12.099) est l'occasion de se faire une idée
précise de l'activité réelle des services de la ville au cours d'une année..
Aujourdui quelques chiffres concernant les bâtiments muncipaux.
Cette direction assure le suivi et l'entretien de 300 000 m2 répartis sur 400 bâtiments dont
135 sites recevant du public et donc soumis à une législation particulière. (Dont : 51 écoles ou crèches , 34 bâtiments culturels, 47 équipements sportifs, 34 espaces culturels,
10 bâtiments cultuels....)
650 000 € ont été consacrés à l'entretien courant de ces bâtiments en 2011. Deux opérations
particulières d'enlèvement de peintures au plomb et de désamiantage, associées à diverses mises aux normes, sur une école et un équipement de quartier (MJC) ont mobilisé 1 040 000
euros.
L'entretien ménager de 90 000 m2 (écoles, crèches, bureaux...) revient à 35€ le m2.an.
Il faut entretenir 132 chaufferies. 47 000 euros ont permis d'améliorer le systéme de gestion de ces
équipements L'isolation thermique - destinée à réduire les consommations - de 4 écoles et d'une crèche (remplacement de fenêtres, pose de protection solaire, isolation extérieure...) a
consommé 540 000 €.
Le patrimoine de la ville s'est enrichi de trois nouveaux sites à gérer : l'ancien collège Bachelard devenu
la maison d ela vie associative ; les anciens bâtiments de la CAF au Polygone devenus M.P.T, l'immeuble du Clos Gaillard (racheté à la SNCF) qui va héberger un service municipal ( direction Santé
Famille) qui trouvera là des locaux mieux adaptés au développement de ses activités que ceux qu'il occupe actuellement.
Un service dont les 7 techniciens et l'ingénieur (chef de service) ne se roulent pas les
pouces.
7 novembre 2010
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Une Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager est un dispositif réglementaire destiné à délimiter une zone autour des monuments historiques
ou des sites inscrits, zone où seront appliqués des règles et des servitudes propres à assurer la mise en valeur des dits bâtiments et sites.
Ce réglement fournira aux propriétaires et aux professionnels du bâtiment des règles claires en matière de construction d'aménagement ou de rénovation.
La ville de Valence a engagé la procédure pour la définition d'une ZPPAUP et du document réglementaire qui l'accompagnera. Il est évident que ce dispositif est un
élément d'une politique urbaine destinée à pesenr la vilel de demain.
5 juillet 2010
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On sait que l'entretien et l'amélioration des bâtiments scolaires est une des priorités que s'est fixé l'équipe municipale.
Le conseil municipal du 5 juillet aura à connaître des engagements suivants en la matière
Aménagements de la cours de l'école élémentaire Buisson : 419 948;01 € TTC
Aménagements de la cours de l'école récamier : 178 000,00
€TTC
remplacements des menuiseries extérieurs école Pergaud 56 835,54 € TTC
Remplacements menuiseries Abel, Buisson, Arhimbaud 155 378,34 € TTc
Rénovation de l'installation électrique école camus 54 091,49 €
TTC
Restructuration du restaurant scolaire
Freinet
92 478,49 € TTC
A suivre
11 juin 2010
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En Avril 2009 (note 09.94) j'avais signalé que, avant le 1er janvier 2015, tous les établissements dépendant de la ville et recevant du
public devraient être mis en conformité avec les normes d’accessibilité en vigueur. Le retard accumulé dans ce domaine est énorme.
Pour ce faire,
L'étude diagnostique, à elle seule, sur les deux budgets, flirtera avec les 500 000 euros.
Vous avez dit "contraintes budgétaires" !
la ville de Valence à engagé l'établissement d'un état des lieux en finançant, dans le cadre de son budget
2009, une étude de diagnostic pour 35 bâtiments. Il en reste une centaine à expertiser. Ce sera fait dans le cadre du budget 2010. Cet état dressé, il faudra, à partir du budget
2011, établir un plan pluriannuel de réalisation des travaux nécessaires. Ces travaux à engager sur cinq ans se chiffreront, à l'évidence, à plusieurs millions d’euros.
14 février 2010
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Il y a deux ans, les grandes pluies d'automne avaient entraîné l'écroulement du mur de la rue des Repenties, en dessous de la cathédrale de Valence.
Après expertise des sols, le programme de reconstruction est aujourd'hui arrêté.
Il en coûtera 883 740,0 euros au budget 2010, dont seront à déduire les remboursements par les assurances dont le montant précis est encore à déterminer. (De l'ordre de 33 % environ)
Une jolie facture dont les finances de la ville se seraient bien passées.
6 novembre 2009
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Le projet de rénovation urbaine sur lequel l'ancienne muncipalité s'était plusieurs cassé les dents est enfin arrivé à terme.Le 9 octobre, l'Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine a fait
savoir qu'elle donnait un avis favorable au projet présneté par la ville de Valence.
Ce projet prévoit la destruction de 389 logements dans les zones dites "sensibles" et la reconstruction de ces 389 mogements hors du périmètre de la zone urbaine sensible. A cela s'ajoute:
la réhabilitation et l'amélioration de 774 logements sociaux, la construction de 100 logements en accession à la propriété, un programme de rénovation et de création d'espaces publics sur
les quartiers du Plan et de Fontbarlette ainsi que la création d'équipements et de locaux associatifs.
Le montant de l'opération, programmée sur cinq ans.s'élève à 113 448 077 €
L'ANRU finance le projet pour 20 881 704 €. La charge de la ville sera de 37 558 138 € , soit '33% du coût total .
La région, le département et d'autres financeurs apportent le reste des fonds nécessaires.
Le conseil municipal a validé ce projet dans sa réunion du 5 novembre.
27 octobre 2009
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Les appels d’offres pour l’opération de rénovation du musée sont
partis.
Le marché est réparti en 30 lots pour le seul bâtiment. Les achats pour l’équipement intérieur et la muséographie viendront plus tard.
Afin de donner une idée du travail qu’a représenté la mise au point de ces marchés et du travail de dépouillement qui attend les services qui auront à enregistrer, vérifier la validité et
analyser les offres, je joins la photo d’un carton contenant les documents relatifs à un seul lot.
Le carton en photo est celui qu’emporte un candidat qui a l’intention de faire une offre pour un lot.
Certains cartons pèsent plus de 10 kg.
Le seul dépouillement des offres mobilisera le service pendant plus de deux jours, leur analyse pendant plusieurs semaines et la commission d'attribution siègera pendant probablement plusieurs
jours
8 septembre 2009
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12:40
Lutter contre les gaspillage d’énergie constitue un des axes de la
politique municipale en matière d’équipement des bâtiments de la ville
En 2009, par exemple, pour les seuls bâtiments scolaires, la ville a fait pour 650 000€ de travaux sur les huisseries de 5 écoles (Ferdinand Buisson maternelle, André Abel , Léo Lagrange
élémentaire , Jules Ferry, Louis Pergaud.) Les vitrages à isolation renforcée que nous faisons installer permettent de réduire les déperditions de chaleur de 40 % par rapport à un double vitrage
de référence et de 70 % par rapport à un simple vitrage. Ils engendrent des économies d’énergie annuelles de 10 % environ sur la consommation de chauffage.
A cela s’ajoute évidemment les travaux pour la réduction des consommations d’électricité (ampoules basse consommation, détecteur de présence pour extinction automatique des éclairages, etc..) et
les investissements pour l’entretien et l’amélioration de nos diverses installations de chauffage (Plus de 1 000 000 d’euros tous bâtiments et équipements confondus en 2009).
Dans le cadre du projet de budget 2010 nous travaillons sur un programme qui sera au moins égal à celui de l’année 2009.