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  • : Le blog de bouchet
  • : G. Bouchet la vie muncipale de Valence. Des réflexions sur la vie politique locale, départementale, nationale.
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10 décembre 2007 1 10 /12 /décembre /2007 00:05

 

Nous votons "OUI " à cette Europe là !

une Europe de répartition des richesses et non de capitalisation.
une Europe dont la prééminence sera enfin donnée aux élus politiques et non à une Banque Centrale .
une Europe de la Paix , non inféodée à l'OTAN
une Europe avec une législation sociale alignée par le haut
une Europe dont la constitution peut être révisable pour le Bien Commun de Tous les citoyens.
une Europe Sociale maîtresse de ses choix économiques .
une Europe laïque.
une Europe où l'environnement a le pas sur l'économique.
une Europe de la liberté de l'Egalité et de la Fraternité !
une Europe Solidaire.

L'immeuble de la B.C.E
                                                

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commentaires

G
Sarkozy dans cette affaire, utilise et exploite les ambiguïtés et les paradoxes des articles 3 et 27 de<br /> <br /> la Constitution<br /> <br /> française. L"article 3 stipule  que " la souveraineté nationale appartient au peuple, qui l"exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s"en attribuer l"exercice ". Donc les représentants de la nation sont les seuls habilités (hors référendum) à exercer la souveraineté. Il y a là une énorme différence entre la souveraineté nationale et la souveraineté populaire. Mais depuis 50 ans que cela dure….<br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> En même temps, l"article 27 précise que " tout mandat impératif est nul ", ce qui dédouane le représentant de cette souveraineté nationale eu égard ses engagements de campagne électorale vis à vis de ses électeurs. Ainsi, un député, élu par une majorité de citoyens hostiles au traité (TCE par exemple ou son frère jumeau qui nous est imposé) est fondé en droit constitutionnel à voter un texte dont ses électeurs ne veulent pas. Après, la question de morale politique peut ne pas rendre insomniaque le député ou le sénateur ; c"est affaire de " langue de bois ", ou de fine trahison envers les électeurs. N"est-ce pas Ségolène ?<br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> Pour finir, cette affaire du refus du référendum ne me paraît être que la partie émergée de la réforme constitutionnelle que nous concoctent les Balladur, Lang et consorts. Une constitution de type franchement présidentiel, où le Parlement sera visité (droit de visite et discours du trône comme sous Napoléon III) et phagocyté. Mais les élus continueront à percevoir leurs régimes spéciaux…bien mérités ( ?) et le droit de réunion (du Parlement) sera revu à la baisse.<br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> Gège<br /> <br />  <br /> <br />
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