"Les électeurs progressistes français ont toutes les raisons d’être en colère contre Emmanuel Macron", rappelle en effet l’économiste grec avant d’en énumérer quelques unes des principales raisons. "Poursuite de la déréglementation du marché du travail au milieu d’une crise déflationniste est du néolibéralisme enragé, (…) union d’austérité permanente en Europe, (…) réduction de l’impôt sur la fortune et des dotations du gouvernement aux collectivités locales etc". Il conclut d'ailleurs sa tribune d'un avertissement : "Pour ma part, ma promesse à Emmanuel est la suivante : je vais me mobiliser pleinement pour vous aider à battre Le Pen, et je me joindrai avec la même force aux prochaines Nuits debout pour m’opposer à votre gouvernement lorsque – et si – en tant que président, vous tentez de poursuivre la mise en œuvre de votre néolibéralisme qui est déjà un échec."
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