A l’occasion de l’entretien publié dans le Dauphiné libéré du 27 novembre, Nicolas Daragon déclare que l’opposition au projet de centre aqualudique de l’Epervière relève « de manœuvres politiciennes qui interviennent comme par hasard à quelques mois des municipales. »
Le Maire-Président d’agglomération a la mémoire courte.
Lors de la présentation du projet au conseil communautaire le 7 décembre 2017, nous avons été 5 élus, dont deux représentants de la ville de Valence, P. Royannez et moi-même, à voter contre ce projet. Le Dauphiné du 11 décembre 2017 a rendu compte de notre vote.
Que les minoritaires d’alors soient maintenant rejoints par un certain nombre d’élus et de citoyens n’autorise pas à prétendre, deux ans plus tard, que cette opposition relève d’un politique d’opportunité.
Nous affirmons, depuis deux ans, et nous le maintenons aujourd’hui, que cet équipement ne répond à aucun besoin collectif et que les investissements qu’il mobilise auraient été bien plus utilement utilisés à d’autres réalisations.
Valence le 27.11.2019
Gérard BOUCHET